Nom : Amion Prénom : Drey ¤Surnom : Age : 16 ans d'apparence, 20 en réalité. Sexe : Féminin Race: Morphologie Humaine. On peut considérer Hybride Humain/Démon depuis ses 16 ans.

Physique : De petite taille, environ 1m55 pour 52kg, Drey n'a pas ce qu'on pourrait appeler une allure propre a mettre en confiance. Malgré sa petite taille, sa silhouette fine et nerveuse, la fait ressembler a un prédateur. Ses iris, d'un jaune doré, semble vous jauger et voir a travers même votre âme, déceler le moindre point faible dont elle pourrait profiter. Ses cheveux blancs forment des boucles délicates autour de son visage, en accentuant la finesse, déjà bien visible par son menton pointu, son nez fin et droit et ses lèvres, ni trop charnues ni trop fine. Sa peau est très pâle. Ses cheveux sont longs jusqu'aux chevilles de la jeune femme, et elle les tressent en général pour ne pas qu'ils volent partout. Cependant les mèches les plus courtes passent leur temps a s'échapper de la coiffure, alors elle s'est résignée a les laisser ainsi... Drey n'aime pas porter de vêtements trop encombrants ou chauds car elle est sensible a la chaleur, aussi revêt-elle en général une simple bande de tissu noire, trouée au milieux de manière a faire passer la tête, et rattachée a la taille par une fine ceinture de cuir noire tressé. En dessous de cela, un short de tissu noir et une brassière sont présents pour masquer les parties les plus intimes de son corps, car le tissu ainsi posé ne masque pas tout efficacement. Les bandes de tissu tombent jusqu'aux genoux de la jeune femme. Aux pieds, elle porte des genres de chaussettes noires sans doigt dont la semelle est constituée de plusieurs couches de cuir épais destinée a la protéger des pierres et autres épines traînant au sol. Les chaussettes montent jusqu'un peu au dessus des chevilles, et sont épaisses et plissés autour de ses chevilles. Elles sont retenues en haut par de fines lanière de cuir noir montées en très fines ceintures. A sa ceinture, attachée a l'aide d'une boucle de métal, est présente son arme décrite plus loin. Caractéristique : Une cicatrice assez voyante court du haut de sa nuque au creux de ses reins, le long de la colonne vertébrale.

Caractère : Son trait principal est sans aucun doute la brusquerie. Elle dit ce qu'elle pense, ce qu'elle juge avoir a dire et ce sans s'embarrasser de fioriture Lorsqu'elle a une nouvelle a annoncer, elle ne va pas l'emballer dans du papier cadeau, non ! La simplicité est son mot d'ordre, et si ca implique d'être dure, parfois choquante, elle s'en fiche. Elle ne ménage pas la susceptibilité des autres. Très honnête, elle refuse de dire une chose qu'elle ne pense pas ou qu'elle pense faux. Et si elle a un compte a régler, elle va trouver la personne qui lui a fait du tors et expose les choses clairement : «tu répare, ou je te casse la tronche.» Et elle tiens parole. En faite, elle tiens toujours parole, elle ne promet jamais rien a la légère. Elle dit qu'elle va faire une chose, elle la fait. Et rien n'a jamais dérogé a cette règle. Cette attitude droite et brusque lui ont attirés des problèmes, mais elle s'en fiche. Elle tiens a ses principes. Pas du genre a s'apitoyer sur elle-même, elle préfère agir pour régler un problème que d'attendre de l'aide. Elle préfère agir seule, mais elle n'hésitera pas a faire ce qui doit être fait. Et si cela implique d'agir avec d'autres personnes, elle le fait, même si pas de bon coeur. Elle n'hésite pas non plus a prendre le contrôle d'une situation si elle juge cela nécessaire. Ni a éliminer les éléments gênants. Peu scrupuleuse, si elle doit blesser, voir tuer, une personne pour arriver a ses fins elle n'hésitera pas. Cependant elle ne niera jamais une faute ou une mauvaise action. Droite et honnête. Toujours. Elle passe souvent de longs moments seule pour se retrouver elle-même, et malgré son honnêteté elle ne parleras jamais de son passé, sauf pour de très bonnes raisons. Elle apprécie la solitude, et même si elle ne fuit pas les autres – en général, c'est elle qui les fait fuir ! - elle entretiens néanmoins l'habitude de très longues périodes loin des habitations et des zones peuplés. Elle tient a son autonomie, et gare a qui tentera de la faire obéir ! Elle ne reconnaît d'autre maître qu'elle-même, et ne travail parfois comme mercenaire que pour s'assurer une subsistance. Et elle choisit elle-même la manière dont elle travail. Aime : Le froid, l'eau, les longues baignades, la solitude et la tranquillité. Aime pas : Les curieux, les pots de colles, la foule, le soleil, la chaleur qui va avec, rester trop longtemps au même endroit et le mensonge.

Récit : La vie de Drey débute un soir de pluie. Le soleil se couchait lorsqu'elle vint au monde dans une maison en pleine forêt, non loin d'une route a moitié rongée de végétation. Les murs ne tenaient que précairement et le toit s'écroulait a moitié dans l'habitation : c'était une ruine. La caravane d'artistes y avait trouvé refuge pour l'accouchement de leur chanteuse. Trois jours plus tard, le bébé, dans les bras de sa mère, reprenait la route avec les jongleurs et les magiciens. La prime enfance de la jeune fille se passa sur les routes. Dès qu'elle sut marcher, elle passa son temps a courir entre les différents spectacles, fascinée par tant d'adresse entre les mains de si peu de personnes... Bientôt, elle apprit le chant avec sa mère, et sa voix promettait d'être aussi jolie que la sienne. Elle commença aussi a assimiler les tours des jongleurs et des acrobates, développant une grande souplesse dans ses mouvements. Malgré son cadre de vie assez festif – elle avait largement de quoi s'épanouir tout a fait correctement – elle e se sentait pas vraiment dans son élément au milieux de gens si joyeux et bon vivants. Mais le destin lui évita la douloureuse décision de quitter le berceau «familial» d'une manière assez ironique. La vie sur les routes n'est pas sans danger. Régulièrement, on y croise des bandes de bandits et de brigands, et parfois quelques monstres. Mais jamais les artistes n'avaient rencontrés un si grand groupe de brigands, et surtout si bien organisé. La fillette n'avait a l'époque que 6 ans. Soudain, on entendit des cordes se tendre, et une personne fit irruption au milieux de la route bordée d'arbres. «Mesdames, messieurs, vous voilà cernés. Descendez des chariots si vous ne voulez pas que l'un de nos trente archers n'ôte la vie a l'un d'entre vous.» Au départ, les bateleurs ne le crurent pas. Il était tout seul au milieux de la route, qu'y avait-il a craindre ? Lorsque le conducteur du chariot de tête se prit une flèche entre les deux yeux, et qu'on entendit a la suite une corde se tendre, ils cessèrent de prendre cela a la plaisanterie. Tout le monde descendit des chariots. L'homme seul, aidé par deux personnes qui venaient de sortir des buissons, entreprirent alors de lier les mains de tout le monde et d'attacher les noeuds ensemble, formant une longue file de prisonniers. Tout le monde eut les yeux bandés, et ils furent guidés a travers la forêt sans avoir ou ils allaient. Lorsqu'on leur retira les bandeau, ils étaient dans des cellules. Ils avaient entendus un grincement, puis descendus un escalier qui avait semblé interminable, puis entendu le bruit d'une cascade, d'un pont-levis qu'on abaisse puis la rumeur d'une basse-cour. Puis des escaliers encore... et maintenant, ils étaient prisonniers. On leur portait a manger et a boire, mais on ne les faisaient sortir que quelques uns a la fois, et ceux qui partaient ne revenaient jamais sans qu'on ne leurs dise ce qu'ils devenaient. Bientôt, l'enfant fut emmenée a son tour... deux ans plus tard. Habituée a se dépenser constamment, la jeune fille avait très mal supportée la captivité et était très pâle. Et très énervée aussi, mais cet état, qui durait depuis deux ans, était devenue tellement habituel qu'elle n'y faisait plus attention. Chaque jour, elle se promettait qu'elle réussirait a s'enfuir, et chaque jour sa détermination grandissait. Elle fut emmenée devant un homme qu'elle ne connaissait pas. Grand, sec et nerveux, il se leva de sa chaise toute fonctionnelle pour approcher de l'enfant et l'examiner sous tourtes ses coutures. «Pas très vaillante... bah, elle fera l'affaire. Emmenez-la en bas, qu'elle se remplume un peu pendant une semaine...» Elle fut ensuite conduite dans une cellule dans une autre partie de ce qui semblait être une vraie forteresse, ou elle fut enfin nourrie correctement et ou elle put s'activer quelque peu, récupérant en vitalité. Puis elle fut reconduite a l'homme et a partir de la, sa vie devint un enfer. L'homme se servait d'elle pour tout. Les travaux de ménages, d'entretien, chaque corvée dont il voulait se décharger lui revenait. Et si elle n'obéissait pas, on la frappait. Chaque jour lui paraissait pire que le précédent, et voyait sa colère grandir. Cependant on veillait a ce qu'elle ait juste assez de nourriture pour soutenir ce train d'enfer, et elle n'avais jamais assez d'énergie pour se rebeller efficacement. A chaque mouvement déplacé, elle se faisait écraser. Ce sort, enviable par rapport a celui de certaines autres filles plus âgées qu'elle qu'elle avait pu voir, dura 4 ans. Puis on passa a la suite. En plus de l'état d'esclavage auquel elle était soumise, l'homme fit d'elle un jouet de chair. Un objet, avec lequel il assouvissait ses désirs pervers et qu'il laissait traîner dans un coin jusqu'à ce qu'il ait une nouvelle tache a lui confier. La, les autres filles n'avaient plus rien a lui envier... L'homme était responsable de la sale la plus ancienne de la forteresse, et la jeune fille avait pu s'y rendre a plusieurs reprises. Pour des travaux d'entretiens majoritairement. Mais jamais elle n'avait eu le droit de s'approcher de l'autel du fond, et elle avait jusqu'à présent toujours été sous surveillance. Mais de part la domination que l'homme exerçait sur elle, il jugea bientôt qu'elle n'oserait pas essayer d'enfreindre la règle de peur de ce qu'il pourrait lui faire subir si l'envie lui en prenait. Et ce jour la, il la laissa seul en charge de la salle... Elle avait 16 ans. Et la curiosité, bien sur, l'emporta sur la prudence. Seule dans la salle, traînant sa fatigue, sa douleur et son déshonneur, elle approcha de l'autel. La table de pierre, noire de jais, était striée de traits blancs irréguliers. Un fin tissu de soie noir était posé dessus, mais on voyais aux quatre coins des bosses se former sous le tissu. Soulevant un coin du tissu, elle put constater que la pierre, non contente d'être couverte de sang séché, était munie de quatre fers sans doute destinés a des chevilles et des poignets. La table sacrificiel était encrée dans le sol devant une statue sans visage, de pierre noire elle-aussi. La statue dégageait une tel impression de danger que l'enfant en recula de quelques pas. Quand elle s'éloigna de l'autel, elle ne se rendit pas compte de la petite croix qui marquait a présent le bas de son dos... Elle avait approchée l'autel, et il l'avait marqué, désignée comme sa prochaine victime. Et cela allait lui coûter bien plus que la vie. Lorsqu'elle retourna dans sa cellule, elle fut presque immédiatement appelée par son maître. Conduite jusqu'à lui solidement tenue par deux troufion, elle fut ensuite laissée seule a la merci de son tortionnaire qui commença son activité favorite. Le viol. Mais une fois qu'il la vit nue, il devint aussi pâle qu'un mort. La petite croix noire dans le bas du dos de sa victime le mit en fureur, mais sembla également l'effrayer. La prenant violemment par le bras, il sortit en trombe de la pièce en la traînant derrière lui, sans prendre la peine de la rhabiller. Ils passèrent dans trois pièces différentes et c'est un cortège de 5 personnes qui rejoignirent la salle que la jeune fille avait passée son après-midi a nettoyer. La, elle fut traînée jusqu'à la table de pierre, et tandis que l'un des hommes retirait le tissu de soie de la table de pierre, un autre prenait un couteau sur une plate-forme plus loin et un troisième la plaqua a la table, tandis que son tortionnaire habituel refermait les fers autour de ses poignets et de ses chevilles, l'immobilisant a plat ventre. Une fois cela fait, il lui tira violemment la tête en arrière par les cheveux, la forçant a le regarder. Il avait l'air furieux. «Pauvre idiote, il a fallut que tu approche l'autel, eh bien tant pis pour toi !» Tandis que celui qui n'avait encore rien fait entonnait un chant inquiétant dont les sons constituant les paroles ne voulaient rien dire aux oreilles de l'enfant, celui qui avait le couteau l'abattit soudain en plein centre de la croix noire, arrachant un cri de souffrance a l'enfant sur la pierre. Puis il remonta le couteau tout au long de la colonne vertébrale, la tranchant comme du beurre. Bientôt, son sang se répandit sur la pierre, et la vie quitta son regard... Fin de sa vie. Début de son cauchemar. Elle n'ouvrit pas vraiment les yeux, mais il lui sembla «voir» tout de même. Enfin, voir... Tout était tellement noir qu'elle ne voyait rien. Mais elle avait l'impression de regarder. Elle ne sentait plus rien. Ni douleur, ni faim, ni rien du tout. Elle se demandait comment elle était arrivée ici, si elle était bien quelque part... Puis une «poussée» sembla s'exercer sur elle, et elle eut l'impression d'être écrasée jusqu'à perdre a nouveau conscience... Dans la salle de l'autel... En plus du sang, un genre de volute noire sembla sortir de la blessure et s'étaler le long du corps et autour, un peu a la manière d'un tissu éthéré. La statue, derrière l'autel, commença a fondre littéralement en fumée, se mêlant a celle qui suintait se la blessure de la jeune fille. La réaction, inhabituelle effraya les cinq hommes qui prirent la fuite. Ils ne virent donc pas la fumée réintégrer intégralement le corps de la sacrifiée, qui sembla frémir un peu. Son bras droit se souleva soudain, arrachant les fers, suivit bientôt du bras gauche et des jambes, et la ressuscité se mit a quatre pattes avant de se relever. Ses cheveux avaient blanchis, et lorsqu'elle rouvrit les yeux, ils n'étaient plus marrons comme avant mais d'un jaune effrayant. Se levant lentement donc, elle fit face a ses assassins, qui étaient bloqués a la porte. Ces imbéciles l'avait fermée pour ne pas être dérangés, et dans leur précipitation ils avaient laissés les clefs près de l'autel... Les saisissant de deux doigts, elle les fit danser a côté de son visage avec un large sourire, qui dégageait autant de menace que la statue qui avait a présent déserté le fond de la salle. Le corps de la jeune fille sembla alors se transformer en fumée et glissa jusqu'aux cinq crétins a la porte. «Ressortant» du sol a quelques centimètres d'eux, elle plongea la main dans la poitrine de l'un d'eux, lui arrachant proprement le coeur. Après avoir fait de même avec les quatre autres, elle défonça simplement la lourde porte de bois avant de sortir enfin a l'air libre. Passant le pont-levi qui l'avait conduit a son cauchemar, elle traversa un grand lac souterrain, puis monta l'escalier menant a la sortie. Une fois sous les rayons du soleil, qu'elle n'avait pas vu depuis si longtemps, elle tomba simplement évanouie au sol. Lorsqu'elle se réveilla, elle ne comprit pas ce qu'elle faisait la. Elle se souvenait d'une douleur insoutenable dans le dos, puis d'un grand vide et d'une impression d'être écrasée. Et la, elle se réveillait dans la forêt. Déstabilisée, elle se releva. Il lui fallut bien une heure pour réaliser qu'elle était enfin libre, que le monde s'offrait a elle ! Alors elle commença a marcher, cherchant ce dont elle se souvenait vaguement comme une ville. Elle se procura des vêtements, ainsi qu'une arme qu'elle possède encore aujourd'hui. Depuis sa fuite, elle ne semble pas avoir vieillit, et il lui arrive parfois de se réveiller sans savoir comment elle est arrivée la ou elle est. Ce mystère s'explique simplement : La statue était en faite un démon. Figée ainsi depuis des centaines d'années, des humains superstitieux l'avaient pris pour un dieux et lui avaient voués un culte. Régulièrement, il marquait les imprudent qui l'approchaient quand il reconnaissait en eux une compatibilité avec lui. Ainsi il laissant ces idiots d'humains lui présenter des réceptacles a la chaîne, sans jusqu'à présent en avoir trouvé un suffisamment compatible pour s'en emparer. Par chance, ou pas manque de chance peut-être, Drey était plus compatible que les autres et le démon avait pu quitter sa prison de pierre. Mais la volonté de la jeune femme la préserve de la possession total, et le démon ne parviens a prendre le dessus que rarement... Aujourd'hui, la jeune femme a retrouvé le goût de la vie, même si elle reste très solitaire. Et elle a résolu de ne plus jamais se laisser marcher sur les pieds, développant son caractère rentre-dedans. Et elle voyage ainsi depuis 4 ans.

Arme : Une chaîne, dont chaque maillon s'orne de deux crochets acérés de la longueur d'une phalange, mesurant 5m et dont chaque extrémité s'orne d'une lame, de 40cm chacune, et au tranchant courbe et acéré. Compagnon: Aucun Spécialités: Nager, jeter des regards qui tuent. La phrase qui colle à votre personnage: «Ca ne te regarde pas»

Surnom : A vous de voir.
Comment avez-vous connu ce forum? : on m'en a parlé.
Des suggestions? Hum...

Bienvenue parmi nous^^ *l'admin qui a la flemme de se connecter avec son autre compte.

Déjà, l'avatar n'est pas aux bonnes dimensions é_è, si j'ai mis une taille maximale c'est pour qu'on est tous un avatar qui soit conforme aux règlement, désolée é_è.

Sinon, tout es bon. Je me connecte rapidement avec Elenwë pour te donner ta couleur ainsi que ton rang, que tu pourras modifier en toute liberté^^, suffira juste de m'envoyer un MP^^.

Lankou

Très jolie fiche! =)
Bienvenue parmis nous! ^^

Trop petit, les dimensions sont 200 x 320, encore désolée é_è.

Lankou

Ca ne fait pas joli é_è.

Elenwë

Ah! Zut! Bon... On va dire que ton avatar est temporaire, le temps que je puisse ravoir un scanner pour te dessiner ton personnage^^.

Elenwë

Ben... Je proposais juste de le dessiner é_è, mais si tu ne veux pas que ça soit moi, rien ne t'empêche de le demander à quelqu'un d'autre é_è.

Lankou

Oui c'est bon^^.
[Arrêtons de flooder quand même^^" *SBAF!*]

Elenwë

Cétafaute Lankou j'ai envie de dire! Arrête d'embêter les petits nouveaux XD
Elle veut garder son image, tu peux toujours dessiner son perso si tu veux... Sachant que tu me dois deux dessins 8D

Au fait tu savais qu'elle savait dessiner?
(pas taper pour ce message pas taper!)

F.......................................K! J'ai dit qu'on arrêtais de flooder! Cza serait sympa de prendre en compte ce que dis l'admin, même si c'est avec son autre compte.

Elenwë